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Bio

JOUER DE L’AMERICANA DANS LE VIEUX MONDE…

PALM – americana et grands espaces

Inspiré de Jason Molina et de Neil Young, de Jonathan Wilson ou de Black Heart Procession et des écrits d’Edward Abbey, d’Allen Ginsberg ou de Richard Brautigan, le folk-rock de PALM plonge ses racines dans la tradition de l’americana. Une musique à guitares, à la pulsation lente et lourde. La bande-son d’un voyage rêvé entre le désert de Sonora et la Californie, le long de l’Interstate 10, le coude à la fenêtre et le pied au plancher.
Rejeton d’un groupe de garage vannetais mais maintenant partagé entre Vannes et Rennes, PALM a progressivement intégré les musiciens qui lui donnent sa forme actuelle et qui existe depuis 2012.
Après un premier disque, And The Loudest Thing Of All Is Our Own Silence puis un EP, El Sereno, produits par Steeve Lannuzel (The Craftmen Club), PALM s’est lancé dans l’enregistrement d’un diptyque californien inauguré par L.A. Vortex Sutra (sorti en 2017). Le second volet, The Golden Light vient de sortir. Comme son prédécesseur, il a été enregistré et mixé par Romain Baousson (Bikini Machine, Marion Mayer) et masterisé par Damien Tillaut.

The Golden Light

Après L.A. Vortex Sutra, sorti début 2017, PALM poursuit avec The Golden Light son road-trip dans les paysages américains de la côte ouest. Cette fois, ce sont les grands espaces de la Californie sauvage qui sont au coeur du propos. Imaginez des artistes, des musiciennes et des musiciens, des écrivaines et des écrivains, des plombiers, des rémouleurs, des coiffeurs et des coiffeuses fuyant l’enfer urbain de Los Angeles pour se réfugier dans les collines et les canyons abandonnés, pour y construire leur eden et placer leur communauté sous la protection du soleil doré de Californie.

C’est tout le propos de The Golden Light. Contrepoint à L.A Vortex Sutra, ce disque explore les visions de Thomas More, Richard Brautigan ou Gary Snyder d’une utopie communautaire, libertaire et à la marge.

L’artwork du disque est également un contrepoint à son prédécesseur. On y retrouve la même diagonale de fuite, mais les forêts, les vallées et les hameaux ont remplacé les derricks et la mégalopole. PALM est remonté en voiture, pour quitter Los Angeles et rejoindre les collines, où la nature sauvage a repris ses droits.